Killed for it's tuks:
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Photo from the BDV's Website
The 10-year-old male's decaying corpse was found in Blang-Awe village in Aceh province earlier this week.
"His tusks were missing and there were traces of blood in the location where he was found," Aceh conservation centre spokeperson Sapto Aji Prabowo declared.
Experts estimated the animal had been dead for at least a week when the carcass was discovered.
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Photo from the Jakarta news's website
Autopsy done and the tissue samples show some marks of poisoning.
At least 11 wild elephants died in Aceh last year, most of them killed by poachers to recover their precious ivory tusks.
Those very costly tusks are in most of the time sold on the black market. And more and more cases are reported especially in Africa and Asia where the population are dwindling day after day.
The environment ministry of Indonesia estimates only around 500 Sumatran elephants remain in Aceh. And according to WWF the species is critically endangered and there are only about 2400 to 2800 specimens left, and half of the population has been lost in one generation due to habitat loss and as a result human-elephant conflict.
photo from the WWF's Website
Tué pour son Ivoire :
Samedi 17 novembre à Sumatra, une grande île située à l'ouest de Java et au sud de la péninsule malaisienne, un éléphant a été retrouvé mort sans ses défenses dans un cas de braconnage apparent visant l'animal en danger d'extinction.
Le cadavre en décomposition d'un mâle âgé de 10 ans a été retrouvé dans le village de Blang-Awe dans la province d'Aceh en début de semaine.
"Ses défenses avaient disparu et il y avait des traces de sang à l'endroit où il a été retrouvé", a déclaré le porte-parole du centre de Préservation de l’Environnement d'Aceh, Sapto Aji Prabowo.
Un expert a estimé que l'animal était mort depuis au moins une semaine avant la découverte de la carcasse,
L'autopsie et le prélèvement d’échantillons de tissu montrent des traces d'empoisonnement.
L'année dernière, au moins 11 éléphants sauvages sont morts à Aceh. La plupart d'entre eux ont été tués par des humains pour récupérer leurs précieuses défenses en ivoire.
Les défenses sont dans la plupart des cas vendues très cher au marché noir et de plus en plus de cas sont signalés en particulier en Afrique et en Asie, où la population d'éléphants diminue de jour en jour.
Le dernier cas signalé remonte à juillet 2018: un éléphant de Sumatra avait été retrouvé mort d'un empoisonnement dans une plantation d'huile de palme.
Le ministère de l'environnement indonésien estime qu'il ne reste qu'environ 500 éléphants de Sumatra à Aceh. Et selon le site WWF, l'espèce est en danger critique d'extinction et il ne resterait qu'environ 2400 à 2800 espèces, et la moitié de sa population a disparu en une génération en raison de la destruction de leur habitat
Beya
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